Bitcoin | Formation | Régulation

par Jan 13, 2024

Quel avenir pour vos bitcoins ? Louis Alexandre de Froissard de Montaigne Conseil et Patrimoine

Comment gérer efficacement son portefeuille de cryptomonnaies et investir avec sagesse ? Quelles sont les meilleures stratégies pour sécuriser ses bitcoins ? Face à ces interrogations, nombreux sont ceux qui, possédant déjà des cryptomonnaies ou désireux d’investir dans ce secteur, qui cherchent des réponses fiables.

La recherche et l’acquisition d’une liberté financière grâce aux monnaies numériques demande souvent un accompagnement adapté. Des institutions telles que Montaigne Conseil et Patrimoine, qui intègrent désormais ces actifs numériques dans leurs stratégies de gestion, offrent des solutions pour investir judicieusement dans les cryptomonnaies.

Alors que nous explorons les services proposés par Montaigne Conseil et Patrimoine, notre focus du jour s’étendra au-delà de leur présentation. Nous nous pencherons sur la progression prudente du Bitcoin dans l’univers de la finance traditionnelle et de la gestion de patrimoine. Cette incursion, il est crucial de le souligner, doit rester fidèle à la philosophie fondatrice qui a hissé le Bitcoin au rang de reine des cryptomonnaies.

Montaigne Conseil et Patrimoine, le gardien de vos bitcoins

« Aussi haut que l’on soit assis, on n’est jamais assis aussi haut que sur son cul ».

Cette citation de Montaigne illustre bien l’esprit de Montaigne Conseil et Patrimoine, une société qui vous aide à garder les pieds sur terre, surtout en période de volatilité.

Montaigne est un précurseur dans l’intégration des cryptomonnaies dans la gestion de patrimoine traditionnelle. Avec une équipe diversifiée en termes d’âge et d’expérience, ils adoptent une approche à 360° de la gestion de patrimoine, comprenant des actifs classiques, numériques et le crowdfunding.

Un blog et des documents sur la gestion patrimoniale des cryptos actifs sont également disponibles gratuitement sur leur site internet. De plus, Montaigne propose des formations au web3 pour s’aventurer dans le Web3.

L’équipe de Montaigne conseille ses clients sur divers aspects, y compris la possibilité de faire des donations en Bitcoin à leur famille. Cela illustre l’évolution du rôle des cryptomonnaies dans la planification patrimoniale et leur intégration croissante dans la finance traditionnelle.

La timide rencontre de bitcoin avec la finance traditionnelle

La fusion entre la finance traditionnelle et la gestion de patrimoine avec les actifs numériques se fait progressivement, tout doucement. Prenons l’exemple des ETF Bitcoin spot aux USA, qui montrent que le Bitcoin commence à être perçu au même niveau qu’un actif traditionnel dans le domaine du conseil en patrimoine.

En Europe, un cadre légal spécifique aux crypto-actifs est en cours de développement avec le règlement MiCA, entre autres. Pour schématiser, aux USA, la tendance est plutôt d’intégrer les crypto-actifs dans une régulation existante.

D’un côté, nous avons les securities, sous la surveillance de la SEC, dirigée par Gary Gensler, connu pour sa position critique envers les cryptomonnaies. Les securities comprennent les actions et les obligations. De l’autre côté, il y a les matières premières comme l’or, l’argent et le pétrole. Pour un autre régulateur américain, la CFTC, Bitcoin, qui repose sur le proof of work, est considéré comme une matière première.

Il est intéressant de noter que cette classification n’est pas aussi claire pour d’autres cryptomonnaies, telles qu’Ethereum, qui utilise le proof of stake.

Le Proof of Work (PoW), rappelons-le, est un mécanisme de consensus dans les blockchains où une puissance de calcul importante est utilisée pour résoudre des énigmes cryptographiques et valider des transactions pour sécuriser le réseau. Le Proof of Stake (PoS), en revanche, permet de choisir les validateurs pour la création de nouveaux blocs et la validation des transactions en fonction des cryptomonnaies qu’ils possèdent.

La différence fondamentale entre PoW et PoS réside dans leur approche de validation des transactions et de création de blocs : le PoW nécessite beaucoup de puissance de calcul, tandis que le PoS se base sur la participation des détenteurs de cryptomonnaies.

Pourquoi cette explication ? L’introduction d’un ETF Bitcoin spot aux USA modifie l’accès à l’investissement dans le Bitcoin, en offrant une porte plus ouverte à la reine des cryptomonnaies et en consolidant le statut du BTC comme valeur refuge.

Ainsi, que ce soit en France, en Europe, aux USA …. L’intégration des cryptomonnaies dans la gestion de patrimoine, devient un indicateur discret, mais bien présent de l’évolution du secteur financier et de la régulation.

Louis Alexandre de Froissard : la vision d’un bitcoiner

L’agitation autour des ETF Bitcoin est-elle un tournant ? Louis Alexandre de Froissard ne le pense pas nécessairement. Au-delà de voir le Bitcoin comme un actif qui gagne rapidement en valeur, il a été séduit par la philosophie qui sous-tend cette cryptomonnaie.

Sa perspective va au-delà de la simple finance. Pour lui, les cryptomonnaies représentent non seulement des actifs économiques, mais aussi des vecteurs de valeurs et de principes. Cette vision rejoint celle de Yorick de Mombynes, et fait également écho aux idées de Jacques de Larosière, auteur de l’ouvrage « En finir avec le règne de l’illusion financière ».

Cette approche, qui allie liberté financière et autonomie, influence la façon dont Montaigne Patrimoine intègre les cryptomonnaies dans ses stratégies de gestion de patrimoine. Elle met en lumière à la fois les opportunités et les implications profondes des actifs numériques, soulignant l’importance de la possession personnelle de ses cryptomonnaies.

« Avec Bitcoin, on détient un élément de son patrimoine en propre, sans dépendre de l’autorisation d’un tiers, qu’il soit notaire ou banquier. »

Et maintenant, sans plus attendre, passons à l’interview de Louis Alexandre de Froissard. À noter, si vous souhaitez le rencontrer, qu’il sera présent, comme l’équipe de Blockchain Addict à l’événement Crypto XR.

À Louis Alexandre le mot de la fin :

« Pour tous ceux qui m’entendent et qui m’écoutent et qui ont eu un jour de l’argent à la banque et qui ont voulu faire un retrait, ces dernière années, ces derniers mois, ils savent très bien qu’aujourd’hui il est de plus en plus difficile de faire un retrait d’argent si on ne le motive pas (…) il est important dans son patrimoine d’avoir un actif que l’on peut détenir sans avoir besoin d’un surveillant »

Pour aller plus loin :